Herbert s'impatiente, il veut vite arriver à l'étang afin d'y attraper certains papillons qui selon lui ne vivent que là.  Selon lui la pluie va bientôt tomber. C'est pour lui faire plaisir que nous avons quitté le chemin ensoleillé et cela non sans regrets car il restait encore de nombreuses formes de vie à étudier.

C'est ainsi que pour arriver plus vite à l'étang nous coupons par la clairière. Les herbes hautes cache un ruisseau dont nous devinons tout de même la présence en entendant le tumulte de l'eau vive.C'est encore Herbert qui nous suggère de suivre le puissant cours d'eau pour trouver plus facilement l'étang dans lequel il se jette.

 Tout en marchant  nous ne pouvons ignorer les nombreux êtres qui habitent dans ces eaux vives, en voici donc un rapide aperçu.

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